Encore un petit mois qui vient de s’écouler.
Je dois bien avouer que ce début d’année est creux aussi pour ce qui est de l’écriture que des publications. Mais pour ce dernier point, c’est normal.
Je pense que je ne suis pas d’humeur (soucis ? beau temps ?) à me replonger dans les deux univers sombres sur lesquels je souhaitais travailler, à savoir Les Seigneurs des Montagnes et la « Romance à crocs ».
J’ai eu plus de facilité à me mettre à l’écriture du projet « Perrine » avec la frangine Salyna qui a bien commencé. Mais là, c’est un peu le point mort, car nous ne sommes pas d’accord sur le dernier passage que j’ai rédigé. La frangine étant en pleine saison de terrain (d’ailleurs, vous pouvez suivre ses aventures d’ornithologue ici), il est difficile de trouver du temps pour échanger à ce sujet. J’ai tout de même bon espoir qu’on se débloque ce week-end.
Si je ne désire pas spécialement reprendre l’écriture de mes univers sombres, j’avoue prendre un certain plaisir à reprendre de vieilles nouvelles. D’ailleurs je retravaille une nouvelle avec « quelqu’un » et cela pourrait déboucher sur une publication. Mais rien n’est fait, il faut que je parvienne à proposer une nouvelle digne de ce nom.
Je ne vais pas non plus trop m’envoyer de fleur (faut pas exagérer), mais lors des relectures de ces vieux textes, je perçois des choses qui ne sont pas bien, que je trouve mal écrites ou superflues. Je trouve que c’est bien, car cela me montre que je progresse. Je ne pense pas que soient encore suffisantes pour faire des nouvelles d’excellence, mais ça fait toujours plaisir.
Je pense m’affairer à relire tous mes textes en lien avec le steampunk. D’ailleurs, une courte nouvelle reprise hier est en train de radicalement se transformer. Je verrais bien ce que cela donnera.
Sinon, l’anthologie « Histoires de… Loups-Garous » ne devrait pas tarder à être en précommande chez Lune Ecarlate Éditions.
Cette antho contiendra cinq nouvelles, dont la mienne « L’esprit de la louve ». J’espère qu’elle plaira, car je suis la seule femme présente.
J’en profite pour vous signaler que, bien qu’elle ne soit en rien steampunk, elle fait partie de projet « Steampunk » (projet toujours sans nom…) tout comme «La dame aux hiboux » publiée dans « Monstre à toute vapeur », toujours chez le même éditeur.
Je fais une digression sur ce fameux projet « Steampunk ».
À l’heure actuelle, il se compose de quatre nouvelles : deux publiées (enfin, une publiée et une autre bientôt) et deux inédites si on peut dire (car jamais publiées).
Les héros et héroïnes (surtout héroïnes) de ces nouvelles seront réunis dans un (court) roman (ou novella). Mais pour le moment, il me manque des éléments d’intrigues. J’ai des idées, mais pas assez pour constituer une histoire complète.
Enfin, une dernière nouvelle devrait s’ajouter à l’ensemble. Comme précédemment, les idées sont là, mais pas vraiment d’histoire, surtout si je veux rester dans un univers cohérent.
C’est un exercice assez difficile de broder des nouvelles dans un univers unique, mais je trouve cela assez sympa.
Pour celles et ceux qui me suivent sur FB, via ma page, il va y avoir quelques changements. Rien de bien méchant, ne vous inquiétez pas. Le nom va changer pour devenir : Xian Moriarty – Auteure et Blogueuse. J’aimais beaucoup Xian Moriarty – auteure, mais pas demain y a piscine, mais il est temps de reprendre un peu de sérieux. Ceci dit, ladite maxime sera toujours dans la présentation et je continuerai de l’utiliser pour évoquer mon actu chaque mois.
Dans les changements prévus, il va aussi y avoir une création d’une adresse mail spéciale pour mon activité d’auteure/blogueuse. Rien n’est fait pour le moment, j’y travaille.
Enfin, quand les deux points précédents seront effectifs, je vais créer des cartes de visite pour aller en salon. J’espère que j’aurai l’occasion de vous en offrir (j’aime rencontrer les gens qui suivent mes travaux d’auteure et mon blog).
J’en profite pour vous signaler que, sauf contrainte de dernière minute, je serai au festival des Étonnants Voyageurs à St Malo (j’attends toujours mon passe presse) ainsi qu’aux Imaginales d’Epinal, en tout touriste/blogueuse dans les deux cas.