Hier, il y avait jardinage.
Parce que oui, je suis allée, aller chez maman pour retourner la terre de son jardin, laisser en friche depuis quelques années. 10 m² à labourer à la main ! Le cheval de labour a bien travaillé. Mais à complètement zapper son « demain y a ».
Histoire de blog :
Pas grand-chose à dire. Je lis très très peu en ce moment. Mais je pense que je prendrais le temps de faire de rapides articles sur les films que j’ai regardés dernièrement, ainsi que sur les livres que j’utilise pour écrire Les Chimères Médicis.
Histoire de moi :
Pas grand-chose non plus. Les mesures de confinements commencent à me peser un peu. Il ne fait pas très beau par ici, et j’ai froid.
Je ne sais pas quand je vais reprendre le boulot. Tant que les sites culturels ne rouvrent pas, pas possible de voir mon contrat être renouvelé. Logique ! Mes patrons ne vont pas embaucher s’il n’y a personne pour venir sur les sites. Croisons les doigts que cela change et que je puisse avoir au moins 6 mois de boulot cette année.
Histoire d’écriture :
De ce côté-là, ça marche bien. J’ai réécrit le 1Je suis en pleine correction de Chimères. Au passage, je teste les méthodes de correction de Cécile Duquenne, en lien avec la master class à ce sujet. Bon, je pense qu’il y aura des choses à revoir par rapport à ma manière de faire, mais il y a des bases qui me paraissent très bien.
Du coup, j’ai relu mon manuscrit avec attention (bon rien de surprenant, mais j’ai une grille d’analyse à suivre). La tâche a été très difficile, car j’apprécie beaucoup le manuscrit. Ce qui, il faut le dire, est assez rare chez moi. Maintenant, je vais passer à une première phase de correction sur le manuscrit en question. Pas joie, pas bonheur et pas félicité.
Par ailleurs, Les Chimères Médicis sont en train de devenir une série. J’ai bossé sur une préquelle qui met en scène un événement uchronique uniquement cité dans le roman de base. Je me suis déchaînée durant une semaine pour construire cette préquelle (un tome ? Une trilogie de roman, de novella ? Faudra voir au moment de l’écriture, mais c’est construit d’un seul bloc). D’ailleurs, pour le moment, le titre de travail de cette préquelle est « La Reine au Blois guerroyant ».
Pour Chimères, une suite a toujours été envisagée vu la fin du roman de base, une bonne grosse uchronie. Mais je n’avais pas trop de pistes d’intrigue. Ça commence à se mettre en place. Mais nous n’en sommes pas là.
La préparation de la préquelle a été une très bonne chose, car j’ai senti que je donnais des bases plus solides pour Chimères. J’en suis très contente.
Voilà donc pour février (et la 1re semaine de mars).
À bientôt !