« Sherlock Holmes Society T.01 : L’Affaire de Keelodge » est une BD de Sylvain Cordurié poue le scénario, Stephane Bervas au dessin, Jean Bastide aux couleurs et Ronan Toulhoat pour la couverture.
Synopsis :
De 1891 à 1894, Sherlock Holmes s’est fait passer pour mort. Peu de personnes savaient qu’il avait survécu à son affrontement avec James Moriarty aux chutes de Reichenbach. Pas même le docteur Watson. Puis, après bien des épreuves, Holmes a mis fin à cette duperie et repris son activité de détective-conseil. Il travaille aux côtés de Scotland Yard pour arrêter un copycat de Jack l’Éventreur quand son frère Mycroft vient solliciter son aide. Keelodge, un village enclavé entre la mer et la côte a été isolé. Personne ne peut en sortir. Mycroft explique que les gens du village sont tous devenus fous, sanguinaires et cannibales. Il a besoin de lui sur le terrain car ce drame découle vraisemblablement d’un acte criminel. Commence alors l’enquête la plus sombre que Sherlock Holmes ait connu.
Avis :
Une BD qui ne m’a pas emballé.
D’ordre général, j’aime bien les BDs de la collection 1800. J’ai bien aimé les tomes où Sherlock rencontre des vampires ou autres monstres.
Cependant, j’avoue qu’ici, je n’ai pas été emballé. Il faut bien avouer que je ne suis pas fan des zombies et c’est bien le sujet de cette BD. Je n’ai rien trouvé de bien extraordinaire ou original, hormis le fait que c’est Sherlock qui dégomme quelques zombies dans un village irlandais contaminer. Et que c’est son charmant légume de frère qui l’y envoie.
La relation Holmes/Watson est assez sympathique puisque notre cher détective semble s’en vouloir de s’être fait passer pour mort pendant des années et ainsi d’avoir loupé certains moments importants de la vie de notre docteur préféré.
Je ne suis pas fan de la coloration que je trouve très terne. Mais je pense que c’est un choix volontaire pour donner de l’ambiance à cette BD.
Une lecture assez morne sans trop d’intérêt pour ce tome d’introduction de quelques choses de potentiellement plus grande… Comme j’ai pris ce premier livre à la bibliothèque, j’emprunterai le tome suivant pour voir.