« Lazare Donatien, Episode 1 : L’ écritoire » est le premier épisode d’une série de Virginia Besson-Robilliard.
Synopsis :
Avez-vous déjà ressenti un certain malaise envers un vieil objet? Quelque chose dont vous avez hérité et dont vous ne savez pas quoi faire la plupart du temps ?De tous temps, les hommes ont cherché à percer les mystères qui se présentent en rencontrant plus ou moins de succès dans leur entreprise.Je ne prétends pas apporter plus de réponses que d’autres à ces nombreuses questions, ce n’est pas mon travail.Mais si d’aventure des évènements bizarres commençaient à se manifester autour de vous de façon impromptue, ce serait alors le moment choisi pour songer à faire appel à moi.Qui suis-je ? Un être étrange, travaillant pour des causes plus étranges encore? je suis le Drockhead !
Avis :
Sans plus.
Je remercie l’autrice de m’avoir proposé le premier épisode de sa série en 13 épisodes.
Nous suivons un Drockhead, une sorte de médium, dans l’une de ses enquêtes. Comme dans une série télévisée, ce premier épisode nous propose de découvrir le personnage de Lazare Donatien ainsi que son « majordome ».
J’avoue que l’histoire est très basique, une histoire de famille tragique. Sans vrai rebondissement ni surprise, le texte se lit bien. Mais la simplicité de l’ensemble laisse un peu froid.
Les personnages sont sympathiques avec des particularités intéressantes, pour ne pas dire drôle. L’humour se fait beaucoup au travers des caractères du héros et de son « majordome ». En ce qui concerne le « client » et les autres personnages, tout reste très basique aussi. J’avoue que ce n’est pas évidemment de s’attacher à qui que ce soit, mais leur sympathie nous fait continuer la lecture.
Je regrette que le manque de personnages féminins, surtout que l’on va se retrouver avec un trio masculin comme protagonistes dans les épisodes suivants (enfin, en toute logique).
L’autrice a une écriture fluide. La nouvelle se lit très bien, sans aucune anicroche.
Peu de chose à dire sur ce premier épisode qui place les bases de la série.
Une lecture sympathique, mais sans plus.