« Sleepy Hollow, la légende du cavalier sans tête » est une nouvelle de Washington Irving.
Synopsis :
Ichabod Crane, jeune instituteur, arrive dans une petite localité de Tarrytown, le Val Dormant. Friand d’histoires fantastiques, il ne pouvait guère mieux tomber qu’au Val Dormant, qui selon les traditions est hanté par de nombreux esprits, dont le terrible Cavalier sans tête… Bon vivant, malin et cultivé, Ichabod ne tarde pas à se faire une place privilégiée auprès de la population ; il entreprend même la conquête de l’héritière la plus convoitée du pays, Katrina Van Tassel, rivalisant avec Brom Van Brunt, le jeune homme le plus en vue de la contrée.
Mais, un soir où le fermier Van Tassel a invité le ban et l’arrière ban du Val Dormant, Ichabod Crane va se rendre compte qu’il n’est guère prudent de s’étourdir de projets matrimoniaux, à l’heure où le Cavalier sans tête hante les abords de la rivière, à la recherche d’une nouvelle victime…
Avis :
Une nouvelle en fin de compte très classique.
Je pense que comme tout le monde, j’ai vu le film de Burton et j’étais donc curieuse de découvrir le texte qui l’avait inspiré. On m’avait prévenu que le film et le texte étaient très différents. Et cela est vrai.
Nous sommes plus face à un texte fantastique dans le sens le plus classique du terme — réalité fantomatique ou bien simple blague ?
Le texte se lit tout seul, sans aucun problème particulier. Bon, j’avoue que j’ai eu du mal à me représenter les personnages autres que ceux du film, mais je ne pense pas que ce soit vraiment une gêne. D’ailleurs, à la description d’Ichabod, on comprend que son allure longiligne ait pu plaire à Burton.
Heureuse d’avoir découvert ce texte, mais sans plus particulier.