Cette année encore, je me suis rendue au festival Quai des Bulles à St Malo (35).
Pour des raisons pratiques, je n’y suis restée qu’un jour, le 23 octobre, mais le festival se déroulait du 23 au 25 octobre.
Mais j’avoue qu’une seule journée m’a bien suffi. Il faut dire que le gros défaut, malgré des efforts de la part des organisateurs, ce sont ces fameux chasseurs de BD. Et je peux vous jurer que certains « campaient » déjà devant certains stands dès 10 h le matin (même si les auteur.e.s et dessinateur.trice.s n’arrivaient qu’en début ou milieu d’après-midi).
Le matin, c’est encore sympa de se balader dans les allées, car il y a peu de monde. Mais hélas, dès le début d’après-midi, ça devient chiant. Il y a des stands que je n’ai pas pu accoster à cause de « gros tas » qui se massaient devant des illustrateur.trice.s. J’avoue une certaine frustration, car il y a des ouvrages que je n’ai même pas consultés, car impossible d’y avoir accès à cause des gens. Youpi.
Heureusement qu’il y avait Mara qui venait signer son dernier tome de Clues qui m’a offert un beau rayon de soleil. D’ailleurs, merci à elle qui est toujours aussi adorable !
Sinon, l’un des gros intérêts pour moi fut l’ensemble des expositions. Certaines m’ont moins touchée que d’autres, mais là c’est une question de goût personnel. Et j’avoue que je n’ai pas tout fait (on se fatigue vite en festival mine de rien).
Mais j’ai eu un coup de cœur pour l’expo sur les Bédéistes chinois. J’ai découvert de très belles choses. Plaisir un peu gâché, je l’avoue, par le fait de ne pas pouvoir consulter le livre d’une des auteures présente avec son livre : masse compacte devant elle et impossibilité d’avoir accès au dit ouvrage….
Et pour finir, je tiens à ne pas remercier l’un des auteurs d’une planche de l’expo des jeunes talents qui m’a juste plombé ma journée avec une planche ô combien superbe, mais ô combien tristissime !
J’avoue que j’ai été un peu en coup de vent sur cette édition de Quai des bulles. Mais j’y étais seule et les chasseurs de dédicaces et les attroupements devant les stands m’ont vite fait passé l’envie de m’attarder au festival.
C’est dommage. Et je ne me suis pas si marrée que ça, désolé pour le slogan (qui est bien sympa sur le principe).