Allez, on continue dans la lignée des comptes-rendus de salon « pas du tout en retard ».
Le 10 octobre, je me suis rendue au Salon de la 25 Heures du Livre du Mans qui avait pour thème les peuples premiers.
Avant tout, je tenais à remercier Lionel Davoust qui m’a permis de profiter de sa voiture auteur pour me rendre au salon. Encore merci à toi, Lionel si tu passes par là !
C’était la première fois que j’allais en Sarthe, au Mans et à ce salon. L’ensemble des réjouissances était éclaté sur plusieurs sites et je dois bien avouer qu’il n’a pas toujours été facile de s’y repérer. Je pense qu’il y avait un petit souci de signalétiques surtout que le site principal est un peu étrange, car très étagé.
Le thème du salon était les « peuples premiers ». Malgré de belles rencontres et de super conférences, j’avoue que niveau livres, je n’ai pas non plus hyper trouvé mon compte. Le salon proposait beaucoup trop de livres « généralistes » en comparaison des ouvrages proposés sur le thème de cette année. Je crois que c’est mon plus gros reproche.
Sinon, j’ai passé une très bonne journée.
J’ai assisté à de nombreuses conférences : Pratiques chamaniques, Arts premiers, et Chasseurs-cueilleurs et mythe du bon sauvage. Comme j’y étais en bon gros touriste, je n’ai pas pris de notes. Mais les blogueur.euse.s du Bibliocosme en ont fait des comptes-rendus de certaines d’entres elles (ainsi que celles auxquelles je n’ai pas assisté). Je vous invite donc à aller vers leur site.
Bref, ces trois conférences m’ont prise presque toute l’après-midi.
Les conférences se passaient au Carré Plantagenêt qui abrite aussi le musée d’Archéologie et d’Histoire. Pour l’occasion, celui-ci était gratuit. C’est donc avec plaisir que j’ai découvert ce lieu qui est assez bien mis en valeur. Il y avait de très belles pièces.
Après avoir un peu achevé mon porte-monnaie, je suis rentrée bien tranquillement.
Malgré quelques petites déceptions (mineurs), j’ai passé une journée très agréable. J’ai aussi découvert la ville du Mans au passage et j’avoue que j’aimerai bien y retourner afin de découvrir son patrimoine.